point de rosée 4ème cas

Quand la température initiale de l'eau est inférieure au point de rosée initial de l'air, elle monte quand l'eau est mise en contact avec l'air chaud. Dans les cas envisagés précédemment, l'eau humidifiait l'air, dans le cas présent elle déshumidifie l'air si la quantité d'eau fournie est suffisante pour maintenir la température finale de l'eau à un point inférieur au point de rosée initial de l'air. En pratique, la quantité d'eau fournie y suffit.
Tant qu'on maintient la température finale de l'eau au-dessous du point de rosée initial de l'air, l'air est à la fois refroidi et déshumidifié. Néanmoins, si on laisse monter la température finale de l'eau au-dessus du point de rosée initial de l'air, l'air est toujours refroidi, mais il est aussi humidifié. Bien que la température de l'eau puisse monter au-dessus du point de rosée initial de l'air, elle ne peut pas atteindre la température bulbe humide finale de l'air.
On remarquera que, dans les quatre premiers cas la courbe représentant les changements d'état de l'air quand il traverse un laveur dans lequel la température de l'eau n'est pas contrôlée, présente toujours sa concavité vers la ligne de température bulbe humide de l'air d'arrivée sur le diagramme psychrométrique.