point de rosée 5ème cas
 
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Propriétés de l'air
(qs) Quantite de chaleur
(qs) sensible froid
(G)Humidité absorbée
Vaporisation Deshu
SHR chaleur totale
(TCS) Taux Chaleur Sensible
Air recycle et en dérivation
Air Extérieur Recy dérivation1

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  • SERIE SERIE Point de rosée 5ème cas

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Processus de climatisation fondamentaux

A - HUMIDIFICATION SEULEMENT

B - RECHAUFFEMENT ET HUMIDIFICATION

C - RECHAUFFEMENT EN CHALEUR SENSIBLE SEULEMENT

D - DESHUMIDIFICATION CHIMIQUE

E - DESHUMIDIFICATION SEULEMENT

F - REFROIDISSEMENT ET DESHUMIDIFICATION

G - REFROIDISSEMENT CHALEUR SENSIBLE SEULEMENT

H - REFROIDISSEMENT PAR EVAPORATION SEULEMENT

 

 

 

                                        FIGURE 4 - Q

Dans les cas précédents, l'eau était soit chauffée, soit refroidie. Dans le cas présent, l'eau est en circulation continue sans être ni chauffée ni refroidie.

Quand la température initiale de l'eau est la même que la température bulbe humide initiale de l'air, elle ne change pas lorsque l'eau est mise en contact avec l'air. De l'eau qui n'est ni chauffée ni refroidie par des moyens extérieurs et  que l'on fait recirculer continuellement dans une chambre de pulvérisation où elle est amenée en contact avec l'air, prend rapidement la température bulbe humide de  l'air. L'eau demeure alors à une température constante aussi longtemps que la température bulbe humide de l'air pénétrant dans le dispositif reste inchangée. Etant donné que la température de l'eau ne change pas, l'eau ne peut ni ajouter de la chaleur à l'air ni en retirer et, par suite, la température bulbe humide de l'air traversant le laveur ne peut pas changer. Cependant, une certaine évaporation d'humidité doit se produire puisque l'eau est à une température supérieure au point de rosée de l'air. En outre, puisque l'eau est à une température inférieure à la température bulbe sec de l'air, il doit y avoir aussi une diminution de la température bulbe sec de l'air.

Dans ce cas, il n'y a pas de changement de la température bulbe humide et la teneur en chaleur globale de l'air tandis qu'il traverse le laveur. La chaleur latente nécessaire à l'évaporation de l'eau peut provenir seulement de la chaleur sensible perdue par l'air quand sa température bulbe sec baisse. En d'autres termes, l'air perd de la chaleur sensible, mais gagne une quantité égale de chaleur latente. La teneur globale en chaleur de l'air ne change pas bien que les proportions de chaleur sensible et de chaleur latente varient. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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